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L'Afa, une algue régénérante​​

Spécialiste en neurophysiologie, Christian Drapeau découvre les effets de l’algue AFA (Aphanizomenon flos-aquae) sur les cellules souches en 2000. Il établit alors les fondements de la théorie du renouvellement des cellules souches.

En 2001, des chercheurs publient, leurs observations sur la capacité des cellules souches du sang à migrer vers le cerveau pour devenir des cellules cérébrales. On pensait que les cellules souches adultes ne pouvaient se différencier : les cellules souches de la moelle osseuse étaient programmées pour devenir des globules rouges, des globules blancs et qu’elles se limitaient à cela. Idem pour les cellules souches des autres tissus.

Sur la base de cet article, mettant en lumière la pluripotentialité des cellules souches de la moelle osseuse, Christian Drapeau et le Docteur Gitte S. Jensen ont émis l’hypothèse, publiée dans la revue Medical Hypotheses, que les cellules souches de la moelle osseuse constituaient le processus naturel de réparation de l’organisme. Hypothèse éprouvée ensuite, par d’autres publications dans le domaine scientifique.

Lorsqu’un tissu ou organe est lésé ou affecté par un processus dégénératif, ce dernier libère des composés spécifiques migrant jusqu’à la moelle osseuse provoquant ainsi la libération de cellules souches. Dans les jours qui suivent ce signal, le nombre de cellules souches en circulation augmente de trois à dix fois. Et pour identifier le tissu qu’elles doivent réparer, celui-ci va libérer une seconde génération de composés permettant d’attirer les cellules souches à lui. Au contact de ces composés, les cellules souches migreront à travers la paroi des capillaires vers le tissu affecté et au contact des débris cellulaires, elles vont proliférer et se différencier en cellules du tissu endommagé pour le réparer. Ces observations ont mené le scientifique à émettre l’hypothèse que plus le nombre de cellules souches en circulation est important dans l’organisme, plus elles seront disponibles pour participer à ce processus de réparation naturelle du corps humain. Au travers des différentes études, une observation parallèle a amené les chercheurs à penser que ce processus de réparation se passait en permanence dans le corps humain même en santé. La santé serait ainsi un équilibre entre la perte cellulaire et le renouvellement des tissus.

​Christian Drapeau s’est intéressé à la mobilisation des cellules souches endogènes grâce aux plantes naturelles pour maintenir cet équilibre et préserver une santé optimale. Il disposait de données sur une algue bleu-vert du nom d’AFA qui pousse à l’état naturel au sein du lac Klamath, dans le sud de l’Oregon, aux États-Unis. Les personnes qui en consommaient constataient une amélioration de leur état général. Les recherches que le scientifique a alors dirigées sur cette algue l’ont amené à penser que celle-ci stimulait la libération des cellules souches de la moelle osseuse dans l’organisme et découvre un polysaccharide capable de stimuler la migration des cellules souches vers les tissus. Ces deux composés de l’AFA permettraient ainsi d’augmenter de 25 % le nombre de cellules souches en circulation, soit trois à quatre millions de cellules nouvelles capables d’identifier les tissus endommagés pour les réparer. Christian Drapeau met aussi en évidence la source unique de phényléthylamine (PEA), une molécule qui favorise la concentration et l’attention, que constitue l’AFA.

Pour le scientifique, il ne fait aucun doute que l’AFA supporte le processus naturel de réparation du corps humain, favorisant par là même une santé optimale.

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